La réforme de l'hôpital public (loi Bachelot) a suscité de nombreuses contestations et inquiétudes de la part du secteur médical :
- Calquer le monde de l'industrie privée sur l'hôpital public
- Permettre une gestion plus marchande
- Nommer sans l'avis des médecins le directeur d'établissement
François Fillon répond aux inquiétudes de ce texte qui restera fidèle à sa première vocation : "favoriser la qualité des soins par tous et pour tous"
Luc Chatel appuie les propos du 1er ministre sur la nécessité de cette réforme "Hôpital, patients, santé et territoires" en précisant que la gouvernance de l'hôpital public doit être simplifiée afin d'en assurer sa pérennité. Il précise aussi que ce projet de loi a été fait en concertant l'ensemble des acteurs de la santé afin de trouver un juste équilibre.
De son côté, Nicolas Sarkozy a annoncé des modifications sur les propositions de la commission Marescau, soit plus de 1000 amendements, dans le but de calmer les esprits.